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Soirée lacanienne

 À l’occasion de la parution du

Livre VI du Séminaire

de Jacques Lacan

 

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La librairie l’Autre Rive et l’Association de la Cause freudienne-Est

vous invitent à une présentation de ce Livre VI :

Le désir et son interprétation

(texte établi par Jacques-Alain Miller,

aux éditions de La Martinière et du Champ Freudien) ;

  

jeudi 26 septembre 2013

à 18 h 30.

  

Cette présentation sera assurée par

Patrice Fabrizi,

Jean-Pierre Galloy et Françoise Labridy

et sera suivie d’une conversation sur le thème : lire Lacan aujourd’hui.

 

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Que découvre-t-on dans ce Livre VI ?

 

 

Un Séminaire clinique : le désir, au travers de ses éclipses, s’articule au seul fantasme, qui est son invariant subjectif. C’est le travail de la cure.

 

Un Séminaire carrefour dans l’œuvre de Lacan ; au beau milieu, cette formule énigmatique : « Il n’y a pas d’Autre de l’Autre. »

 

Un Séminaire d’actualité : il n’est pas d’ordre anthropologique immuable dont puisse se réclamer une nostalgie conservatrice.

 

Thriller aquatique pour jeunes enfants

Jon Klassen

Ce n’est pas mon chapeau

aux éditions Milan, 2013 ; traduction française par Jacqueline Odin

36 pages

Prix : 12,90 €

 

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        Le premier album de Jon Klassen publié en France, Je veux mon chapeau (éditions Milan, 2012), illustrait brillamment le principe du « Qui s’excuse s’accuse », et il contenait déjà une bonne dose d’humour noir. Ce n’est pas mon chapeau est le deuxième album qui nous arrive de ce jeune auteur canadien (Milan, janvier 2013). Il met en scène un mignon petit poisson qui a dérobé à un gros poisson taciturne le chapeau melon que celui-ci portait sur sa « tête ». Le petit se dirige vers un endroit qu’il croit connu de lui seul, pour s’y mettre à l’abri. Hélas ! ni son audace, ni sa ruse, ne le préserveront des représailles du gros.

        Tout au long des pages, le petit poisson est seul à parler. Il est très satisfait du larcin qu’il a commis, même s’il affirme que voler un chapeau « ce n’est pas bien ». À deux reprises, ce gentil personnage s’adresse au lecteur directement, en le tutoyant, comme un ami. Parallèlement à ce monologue candide du petit, le déplacement du gros poisson nous est montré par de grandes images horizontales, et nous assistons à une série de mouvements minimalistes qui contredisent point par point les affirmations énoncées dans le texte. Après le drame, les trois dernières images, dont chacune emplit sa double page, ne sont plus surmontées de la moindre bande de texte, ce qui est l’équivalent d’un silence lourd de sous-entendus.

        Cet album permettra aux enfants de découvrir l’humour pince-sans-rire des Anglo-Saxons. Dès quatre ans, ils apprécieront la subtilité des changements qui affectent l’expression faciale des personnages.

        De quoi sont faites ces images, qui ne sont ni tout à fait dessinées, ni tout à fait peintes ? De collages et d’incrustations numériques, dirait-on. La chair des personnages, les paysages dans lesquels ceux-ci évoluent, sont traités par des découpages et des superpositions, et l’auteur s’efforce de suggérer l’aspect de tel matériau en découpant sa forme dans la photographie de tel autre… Du sampling graphique, en somme.

 

                                                                                                                         Jean-Michel

 

 

Les éditions Bartillat à l’Autre Rive

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jeudi

27 juin 2013

à 18 h 30

 

Constance de Bartillat et Charles Ficat nous parleront de leur commune passion pour la littérature, qui se traduit, depuis l’an 2000, par la constitution d’un catalogue varié et surprenant, reflet de leur éclectisme exigeant. Parmi les textes rares, remarquablement présentés et annotés, qu’a publiés cette année la maison Bartillat, ce sont les lettres de Barbey d’Aurevilly et le journal tenu par Romain Rolland pendant l’occupation allemande qui vont tout particulièrement retenir notre attention au cours de l’entretien que nous aurons avec Constance de Bartillat et Charles Ficat. Mais nous ne résisterons pas au plaisir de questionner nos deux invités sur les autres livres qu’ils nous font découvrir – ou redécouvrir, comme ce Monde du sexe, essai peu connu d’Henry Miller, qui nous revient dans une nouvelle traduction, accompagnée d’un avant-propos de Charles Ficat.

 

 

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Un livre et ses éditeurs

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Michel Chandeigne
et  Anne Lima,

 

grâce à qui les
éditions Chandeigne
existent depuis 1992,

 

seront à l’Autre Rive

mardi 18 juin 2013
à 18 h 30

 

Le dernier livre publié par Michel Chandeigne et Anne Lima s’insère dans leur superbe collection Magellane, dévolue aux récits de grands voyageurs. Il s’intitule La Découverte du Japon par les Européens (1543-1551).

 

En 1543, les Portugais sont les premiers Européens à poser le pied au Japon. En 1549, François Xavier et quelques jésuites y débarquent à leur tour et fondent la mission chrétienne du Japon.

 

Le livre rassemble les évocations de « Cipango », telles qu’elles figurent dans les sources historiques occidentales depuis 1300, puis les descriptions du « Japon » que fournissent les récits narrant la rencontre entre les Européens et les Japonais de 1543 à 1552. Ces textes, écrits par des navigateurs, des aventuriers ou des jésuites, témoignent de la fascination éprouvée par les Européens – non sans incompréhension – devant cette nouvelle civilisation, qu’ils jugent aussitôt supérieure à toutes celles qu’ils ont observées jusqu’alors. En miroir, un texte japonais, jamais traduit en français, raconte l’arrivée de ces hommes blancs, aux longs nez et aux manières frustes, que les Japonais appellent péjorativement les nanban-jin, les « barbares du Sud ».

 

 

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La fabrication et l’impression des livres publiés par Chandeigne
témoignent d’un rare perfectionnisme éditorial.

Paris pop-up

 Dans le cadre de la Quinzaine des librairies Sorcières 

 

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samedi 1er juin 2013

à partir de 14 h

 

vous dédicacera son livre pop-up

qui vient de paraître aux éditions Milan :

 

PARIS voyage animé

au cœur de la ville lumière,

 

 

réalisé avec la complicité d’Arnaud Roi,

qui est l’auteur des textes et l’ingénieur papier de cet ouvrage. 

 

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Sylvie Bessard est nancéienne. Elle a déjà illustré plusieurs albums pour enfants, dont Jus de chaussettes (texte de Noé Carlain, éditions Milan) et Mes transports à toucher (éditions Milan), ainsi que deux romans écrits par Agnès de Lestrade et destinés aux lecteurs débutants : Tu es trop grand, Georges ! (éditions Nathan ; prix des Premières Lectures en 2012) et J’ai trop mangé ! (également publié par Nathan).

 

Ce beau Paris voyage animé, dont chaque double page s’ouvre sur un troisième volet à déplier, fait fleurir les édifices prestigieux, les ponts, les tours, les gares sous les yeux des enfants, en leur donnant à explorer cinq vues différentes de la capitale.

Pour dessiner les mille architectures qui se coudoient ou se combinent dans Paris, et pour donner de cette complexité une représentation qui soit agréable aux yeux, qui stimule la curiosité des jeunes enfants, Sylvie Bessard joue avec les règles de la perspective classique, alternant dans chaque image les parties traitées à plat et les parties mises en relief.

Il faut ouvrir le livre en grand, en déployant le rabat. On peut alors se pencher sur les pages et tourner autour du livre, pour appréhender chaque vue de Paris sous plusieurs angles, pour mieux en savourer les détails et pour essayer les différentes lignes de fuite que le dessin suggère à notre œil.

Les notices historiques, rédigées par Arnaud Roi, nous renseignent sur les principaux bâtiments parisiens, anciens et récents, et sur le quartier qui les abrite.

Petits et grands, venez vous promener dans les rues de ce foisonnant Paris de papier, venez à l’Autre Rive pour échanger quelques mots avec Sylvie Bessard, et pour suivre en direct les mouvements de son crayon !

 

Paris, par Arnaud Roi et Sylvie Bessard, éd. Milan, 2013

24,90 €

 

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