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mardi, 21 mai 2013

L’écriture façonne le monde

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Mardi 28 mai 2013
à 18 h 30

 

François Taillandier

 

nous parlera de son roman
l’Écriture du monde ; éditions Stock, 2013.

 

Après le cycle de la Grande Intrigue, dont la boucle s’est refermée en 2010, c’est un livre entièrement différent que François Taillandier nous a offert en mars de cette année. Il s’intitule l’Écriture du monde, et ses pages nous font remonter vers les origines de notre civilisation.

 

L’empire romain s’est déchiré entre l’Occident et l’Orient. On s’y est fait : d’un côté il y a Rome, presque réduite à l’état de ruines, mais aussi Ravenne, la nouvelle capitale, cernée de brume et de moustiques ; de l’autre, il y a la fastueuse Constantinople. Puis on a vu surgir bien d’autres lignes de fracture, entre cultures différentes, sous l’effet des guerres et des grandes migrations. Pour restituer ces mutations, Taillandier fait revivre sous nos yeux le roi Théodoric, l’empereur Justinien et l’impératrice Théodora, ainsi que Cassiodore, Boèce et Benoît de Nursie, Isidore de Séville et le pape Grégoire, et Théolinda, reine des Lombards.

 

François Taillandier rend intelligible à ses lecteurs une période historique assez méconnue, souvent jugée obscure, qui est située à la charnière de l’Antiquité et du Moyen Âge, et il invente le style narratif que cette entreprise d’archéologie et de dévoilement exigeait. C’est un tour de force que d’être parvenu à fondre le style antique et la vision moderne en une coulée homogène de prose. Ne serait-ce que pour cette raison, l’Écriture du monde est un vrai roman.

 

« Le roman peut, d'aventure, nous apprendre deux ou trois choses sur l’Histoire. Il peut surtout, quand il est porté aussi haut que François Taillandier le porte, témoigner, face aux agonies dont l’Histoire est le récit toujours recommencé, de l’indestructible vitalité des hommes. » (Florent Georgesco, dans le Monde des livres, vendredi 15 mars 2013.)

 

Taillandier_Francois SEUL par David Balicki 2008 presse-2.jpg

François Taillandier, que nous avons déjà reçu, en 2010, à l’occasion de la parution du cinquième et dernier volume de la Grande Intrigue, est romancier, et parfois essayiste. Il écrit dans le journal l'Humanité et dans la revue l'Atelier du roman.

 

 

dimanche, 07 avril 2013

« Les Corti » à l’Autre Rive

Fabienne Raphoz  et  Bertrand Fillaudeau

 

dirigent les Éditions José Corti.

 

 

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les rencontrer

 

 

jeudi 11 avril 2013

à 18 h 30

 

 

 photos © Olivier Roller

 

 

 

Ils nous parleront notamment de la collection « Biophilia », qu’ils ont créée en 2012.

 

     Le premier livre paru dans la collection lui a donné son titre. Il s’agit de Biophilie, par Edward O. Wilson, entomologiste et biologiste américain né en 1929. La biophilie, c’est l’amour de tout ce qui est vivant.

 

     Cette collection a pour vocation de mettre le vivant au cœur déclairages ou de rêveries transdisciplinaires de tous les temps : éthologues, philosophes, zoologues, ethnologues, systématiciens, folkloristes, naturalistes, explorateurs, illustrateurs pourront sy rencontrer dans le buisson foisonnant des espèces dont le devenir concerne la nôtre. (Fabienne Raphoz.)

 

 

shepard-avons-seule-terre_g.jpg     Derniers titres parus :

 

     Nous navons qu'une seule terre, de Paul Shepard (traduit de l’américain par Bertrand Fillaudeau) ; et Voyages, de William Bartram (traduction de P.-V. Benoist de 1808, révisée et complétée par Fabienne Raphoz).

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samedi, 23 mars 2013

Au rayon de la sociologie

Gérald  Bronner 

 

 

Gérald Bronner : « Une Apocalypse mondialisée»

 

vendredi 29 mars 2013

à 18 h 30

 

pour  La Démocratie des crédules 

 

(un essai récemment paru

aux éditions PUF)

 

 

       Pourquoi les théories du complot envahissent-elles l’esprit de nos contemporains ? Pourquoi le traitement de la politique tend-il à se « peopoliser » ? Pourquoi se méfie-t-on toujours des hommes de science ? Comment des faits imaginaires ou inventés, voire franchement mensongers, arrivent-ils à se diffuser, à emporter l’adhésion du public, à infléchir les décisions des politiques, bref, à façonner une partie du monde dans lequel nous vivons ? N’était-il pourtant pas raisonnable d’espérer qu’avec la libre circulation de l’information et l’augmentationbronnercrédules.jpg du niveau d’études, les sociétés démocratiques tendraient vers une forme de sagesse collective ?

 

Gérald Bronner, professeur de sociologie à Paris-VII et membre de l’Institut universitaire de France, étudie le fonctionnement des croyances collectives, sujet auquel il a consacré plusieurs livres : L’Empire des croyances (PUF, 2003), L’Empire de l’erreur (PUF, 2007), L’Inquiétant principe de précaution (PUF, 2010, en collaboration avec Étienne Géhin). Gérald Bronner est également l’auteur de La Pensée extrême : comment des hommes ordinaires deviennent des fanatiques (Denoël, 2009), et il a écrit plusieurs romans (dont Comment je suis devenu superhéros, éditions Les Contrebandiers, 2007).

De 1999 à 2001, il a dirigé le département de sociologie de l’université de Nancy.

 

 

 

 

 

jeudi, 21 mars 2013

Sara dédicacera ses albums

en partenariat avec la médiathèque de Nancy et l’université de Lorraine

 

 

Venez rencontrer

 

S a r a

 

mercredi 27 mars
à partir de 16 h 

 

 Depuis plus de vingt ans, Sara crée des albums jeunesse particulièrement innovants.

 

Sara a illustré un recueil de fables de La Fontaine paru l’année dernière aux éditions du Genévrier, une anthologie de poèmes composée par Jean-Marie Henry et parue aux éditions Rue du Monde (Ça fait rire les poètes), ainsi qu’un recueil de contes mythologiques publié par Circonflexe (Les Métamorphoses d’Ovide).sara2.jpg

 

 

Elle est aussi l’auteur complet d’albums qui ont conquis une place éminente dans l’histoire de la narration graphique pour jeunes lecteurs, parmi lesquels : Elle et moi (éditions l’Art à la page), La Revanche du clown (éditions Thierry Magnier), Révolution (éditions du Seuil), À quai (éditions du Seuil) ou encore Enchaîné (éditions La Joie de lire, sur un texte de Valérie Dayre).

 

 

sara3.jpgSara recourt à la technique des papiers déchirés, pour donner naissance à des créatures fragiles, hommes et bêtes, souvent en butte à l’indifférence ou à l’hostilité du monde. La plupart de ses albums ne comportent que quelques lignes de texte. Certains sont entièrement muets.

 

Les images y prennent la parole, par leur puissance expressive et par le mouvement limpide de leur succession.

 

 

 

 

 

lundi, 11 mars 2013

Soirée Dada !

 

Une soirée aux couleurs de l’art 

 

vendredi 15 mars
à 18 h 

 

les éditeurs de la revue Dada
(neuf numéros par an, pour les enfants de six ans comme pour les ados)

 Dada.jpg

 

vous feront entrer dans les coulisses de leur travail.
Ils vous raconteront comment est réalisé chaque numéro de leur revue.

 (Pour tout public !)

 

 

 

chagall.jpgVenez découvrir les numéros de Dada qui vous manquent, ainsi que la collection de livres d'art portant le label Dada

 

(aux Éditions Arola)

 

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