« 2015-09 | Page d'accueil
| 2015-11 »
vendredi, 30 octobre 2015
Rencontre
avec
W i l l i a m M a r x
critique littéraire et historien de la littérature
vendredi 6 novembre 2015
à 18 h 30
Nous recevons William Marx à l’occasion de la parution de son dernier essai : La Haine de la littérature (éditions de Minuit, 2015).
De Platon à Nicolas Sarkozy, ce livre fournit toutes les pièces du procès intenté depuis 2500 ans à la littérature.
William Marx y écrit une autre histoire de la littérature occidentale, pleine de bruit et de fureur, de bêtise, d’hypocrisie et d’ignorance, avec ses querelles et ses combats, ses défaites et ses triomphes, ses stratèges, ses traîtres et ses héros.
La Haine de la littérature révèle la face cachée de l’histoire de la littérature – celle qui lui donne peut-être son sens véritable.
William Marx, La Haine de la littérature, Minuit,
collection Paradoxe.
224 pages, 19 €.
William Marx a notamment publié : L’Adieu à la littérature. Histoire d’une dévalorisation. XVIIIe-XXe siècle (Minuit, 2005) ; et Le Tombeau d’Œdipe : pour une tragédie sans tragique (Minuit, 2012).
Publié dans Les Rendez-vous de l'Autre Rive, Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | | | Facebook
samedi, 03 octobre 2015
Rencontre
mercredi 7 octobre 2015
à 18 h 30
avec Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges
pour leur livre Sept jours à Calais
(éditions Médiapop)
Préface de Jean Ziegler
« “To UK !”, le signal secoue la jungle Tioxide inondée par des averses lourdes et pénétrantes. Immédiatement, plusieurs dizaines d’hommes et quelques femmes, à peine couverts, filent vers la butte qui cache un tronçon de la rocade menant à la zone d’embarquement, synonyme d’accès à la terre promise… Les migrants savent ce qu’ils doivent faire pour permettre à quelques-uns d’entre eux, choisis par le destin, de passer, sans encombre ni passeur… »
Habitants de Mulhouse, ville-monde aux cent quarante nationalités, Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges ont entamé un long périple qui les a conduits aux portes de l’Europe, où frappent en vain plusieurs dizaines de milliers de personnes venues de la Corne de l’Afrique et du Moyen-Orient, fuyant la guerre et les persécutions.
Les témoignages qu’ils ont recueillis à Calais, porte de sortie européenne de plus en plus hermétique vers l’Angleterre, soulignent les atermoiements d’une Union européenne tentée par le repli sur soi.
Rencontre proposée en partenariat avec le Centre culturel André Malraux de Vandœuvre et la Maison de l’Architecture de Lorraine, jusqu’au samedi 17 octobre, en lien avec l’exposition Fragile(s) qu’on peut aller voir à la Galerie Robert Doisneau.
Publié dans Les Rendez-vous de l'Autre Rive, Sciences Humaines | Lien permanent | Commentaires (0) | | | Facebook